

Estelle et Clémentine dans une sublime découverte
Hier matin, mardi, c'est "La Valse de l'Empereur" de Johann Strauss qui nous tire avec violence de nos profonds sommeils. Dur. < Put-Hein, mais fais pas chier Johann ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Nous accomplissons nos rituels pisseux. Morts de faim nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges et Clémentine s'occupe du café. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. L'agréable odeur de pain grillé parfume notre copieux petit déjeuner. Délice.
Nous sommes déjà en tenue de jogging. Dès 6 h25, nous voilà à courir dans la douceur matinale de la fin de ce mois de mai. Une heure d'un de nos running des plus agréables et nous voilà de retour. La douche. Je descends sortir l'auto de Clémentine. Elle porte un pantalon de coton fin et à plis. Une veste claire et légère sur un T-shirt. Sandalettes à légers talons. Super belle. Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Clémentine reviendra pour midi. Je rentre. Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Me voilà enfin assis devant mon chevalet.
Il est 8 h15. Je peins dans une volupté délicate qui me fait pousser les cris les plus surréalistes que je module très longuement. La peinture de cette trentième toile destinée à ma saison d'été me procure les plus indicibles émotions. J'en oublie les réalités. Il est dix heures lorsque la musique ridicule de mon téléphone me sort de mon abstraction. C'est mon Oncle Alan d'Edimbourg. Nous gardons régulièrement le contact. Le plus souvent par courriels. Là, je suis informé de notre location sur l'île de Skye. Joie. Nous aurons un tout petit cottage la première semaine d'août. Alan me fera un mail avec toutes les coordonnées. C'est superbe.
Nous bavardons encore un peu. Nous nous voyons à Edimbourg pour le 2 juillet. Nous nous réjouissons pour ce nouveau séjour. Je travaille dans une euphorie délirante. Je veux faire découvrir la cote Ouest de l'Ecosse à Clémentine. Cela sera la perfection. Il est presque midi lorsque je nettoie mes pinceaux et ma palette. Dehors il fait un peu moins chaud que hier. Il y a des nuages. Je vais à la cuisine pour y préparer les coquillettes que je ferais gratiner. Il est 12 h15. Clémentine rentre. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Je lui annonce la bonne nouvelle. Nous aurons un petit cottage en Ecosse. Joie.
Ce sera une location d'une semaine. De quoi nous permettre de randonner et de parcourir l'île et ses cotes dans tous les sens. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je prépare une sauce au Roquefort avec des champignons blancs. Tout va très vite. Les coquillettes sont au four. Nous descendons au jardin. Nous récupérons les dernières fraises dans la serre. Clémentine me raconte sa matinée. Les cours axés sur les préparations au Doctorat qui commenceront à la mi septembre 2018. Ma compagne me révèle les délicieux tourments qui la titillent depuis hier. Cette rencontre au port ne la laisse pas indifférente.
Je lui conseille de téléphoner à "Bernard", le beau vieux rencontré hier. Nous entendons la sonnerie du four. Nous avons faim. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit et dans la véranda. La discussion s'articule sur la rencontre. Assise sur mes genoux, Clémentine compose enfin, après une longue hésitation, le numéro reçu hier. Il y a une longue attente. < Je peux avoir le rayon boulangerie s'il vous plaît ! > fait Clémentine avant de rajouter : < J'ai fait un faux numéro. Excusez ! > Etonné puis amusé, j'écoute Clémentine m'expliquer qu'elle avait une femme au téléphone. C'était pour donner le change. Rire.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues vélo. Et il est déjà 13 h30. Estelle nous attend à l'entrée de la piste cyclable pour 14 h. Clémentine porte une de ses jupettes sport, T-shirt. J'ai mon short. Dans le petit sac à dos, je mets trois pommes, des barres de céréales, la bouteille d'eau et nos K-ways. Nous voilà prêts. Bien. Clémentine, serrée contre moi, me confie sa déception suite au coup de fil. Je propose de rappeler plus tard dans l'après-midi. Nous descendons le chemin pour rejoindre la piste cyclable. Estelle est toute contente de nous revoir. Vêtue de son short kaki.
Les filles se sont vues ce matin. Clémentine lui a raconté notre aventure de hier. La rencontre avec ce mec qui voulait la baiser. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Il y a parfois un nuage qui cache un beau soleil généreux. Il y a un climat orageux. Nous croisons quelques cyclistes. Arrêt au cabanon de l'écluse. Nous attendons un peu. Personne. Les filles doivent pisser. Rire. Clémentine propose de nous retenir jusqu'au port de plaisance. Excitées comme elle le sont, les filles veulent se garder. Pipi. Je conseille à Clémentine de refaire le numéro. Nouvelle tentative. Nouvel échec. < Put-Hein mais c'est quoi ! > s'écrie t-elle.
Nous rions de bon cœur en continuant notre chemin. Nous arrivons au port pour 15 h30. Nous y fermons les vélo à cadenas. Nous allons saluer Pauline dans le cabanon de la capitainerie. Boulot. Nous bavardons longuement en riant beaucoup. Sympa. < Si vous voulez aller aux toilettes réservés aux plaisanciers, il faut récupérer la clef chez moi ! > nous apprend Pauline. Rire. < Il y a des problèmes avec des gens qui n'ont rien à y faire ! Des plaisanciers ont signalé des trucs ! > rajoute t-elle encore. Nous rions de bon cœur à l'idée que nous en faisons parfois partie. Nous laissons la capitaine à son travail. Les cônes glacés.
Il y a peu de monde sur le port. Il y a peu de monde dans la supérette. Nous bavardons un peu avec la gérante. Sympathique. Nous savourons nos cônes glacés en flânant. < Là-bas, Chipolata ! > s'écrie Estelle en nous montrant l'homme à la mobylette. Nous voyons Maurice, vêtu de son éternelle veste brune élimée, de son vieux pantalon bouffant et ridicule tenant son casque. Il bavarde avec des joueurs de pétanque. < Put-Hein, on se fait un super "Plan" avec ce vieux salaud ! > s'écrie Clémentine. Estelle rajoute : < A défaut de caviar, on mange du pâté ! >. Nous rigolons comme des bossus. Nous contournons le manège.
Estelle nous fait : < Attendez moi dans les fourrés, j'attire Chipolata vers les chiottes ! >. Nous nous dépêchons de nous cacher. Dans les fourrés, nous pouvons voir Estelle marcher doucement, les bras croisés près du parking. Enfin, Maurice l'aperçoit. Dur. Discrètement, comme elle sait très bien le faire, nous voyons Estelle imiter une masturbation masculine chaque fois qu'il mâte. C'est toujours très rapide mais efficace. Maurice ne doit pas être très physionomiste et certainement très myope. Enfin il réagit. Il pousse sa mobylette pour se diriger vers le bâtiment des sanitaires. Il met sa mobylette contre le mur. Il pénètre les fourrés.
Estelle qui est venue nous rejoindre observe Maurice qui se débraguette en regardant partout autour de lui. Il marche un peu. < J'y vais ! > nous fait Estelle en sortant des fourrés pour marcher doucement le long du mur. Maurice tombe sur la fille. Joie. Ils se serrent les mains. Maurice a la bite à l'air. Toujours aussi longue et molle, blanchâtre et évoquant une chipolata. Drôle. Estelle s'accroupit pour la regarder. Maurice lui caresse la tête. Clémentine, terriblement excitée, se masturbe à côté de moi. Le type agite sa bite devant le visage d'Estelle qui reste à l'écart, avec une grimace et ses mains sur les cuisses de Maurice.
< Put-Hein j'y vais aussi ! > me chuchote Clémentine entre deux apnées tout en se touchant, retenant sa respiration. Excitée. Je lui murmure : < Attends un peu, laissons la situation évoluer encore un peu ! >. Nous voyons Maurice s'assoir là, parterre. Le dos appuyé contre le mur, les jambes largement écartés, il se fait branler par Estelle qui s'est assise au sol, à côté de lui. Estelle, sa tête posée sur la poitrine de Maurice joue avec la queue qu'elle fait tournoyer en riant. Maurice lui caresse la nuque. Clémentine me laisse sans prévenir. Je comprends que s'en est trop. Estelle est toute surprise de la voir arriver en se touchant.
Maurice, tout étonné, lui montre le sol à sa droite pour dire : < Viens t'asseoir, il y en a pour deux ! Il n'est pas là ton mec ? >. Clémentine s'installe à côté du mec qui la prend par les épaules. Il tente de lui faire une bise. Clémentine se détourne. Dégoût. Estelle glisse son visage tout près du sexe de Maurice. Je bande comme jamais. Clémentine, une main sous sa jupe, observe. Penchée en avant ma compagne regarde ce que fait Estelle. Elle hume la bite du vieux salaud. Estelle se redresse en grimaçant. Maurice qui a anticipé, la maintient fermement par la nuque. Estelle tente de résister. Je la vois ouvrir la bouche pour le gober.
Comme halluciné, je regarde Estelle sucer ce mec. Elle suce avec avidité. Les traits se son visage enfin détendu. Elle se régale. Clémentine est maintenue fermement par la nuque. Maurice tient les deux filles. Estelle suce. Je la vois savourer avec appétit. Maurice tente d'embrasser Clémentine qui se détourne en luttant contre l'étreinte du mec. Il lui passe sa main entre les cuisses. J'hallucine une nouvelle fois en voyant ma compagne qui écarte largement ses cuisses pour laisser le mec la tripoter. Il touche. De voir ce vieux Clodo se comporter ainsi avec les deux filles me procure une érection presque douloureuse. Je me branle. Fou.
Je vois Estelle retirer la queue de sa bouche à plusieurs reprises. Je la vois, l'air dégoûté, tenter de déglutir et avec difficulté. Maurice doit faire un doigt à Clémentine qui se pâme. Elle doit apprécier à tel point qu'elle se laisse à présent embrasser. Fou. Je vois ma compagne, blottie contre ce mec qui l'embrasse et qui la doigte avec une vulgarité incroyable. Estelle taille sa pipe. Je vois du jus s'écouler de la bouche d'Estelle sur les grosses couilles du vieux saligaud. Clémentine tient le poignet du mec. Elle semble guider sa main. Estelle, la bouche ruisselante de foutre, cesse parfois pour contempler, étonnée, ce qui se passe.
Maurice se couche sur le dos. Les deux filles ont posé leur tête sur son ventre. Estelle se régale de cette bitte molle, baveuse. Clémentine la regarde avec un air d'envie. Enfin ! Les filles sont maintenues par la nuque. Maurice tente de forcer Clémentine. Il tire Estelle par ses cheveux pour la forcer à cesser sa pipe. Je n'ai jamais vu s'écouler autant de foutre d'une bite. C'est fou. Estelle crache dans la bouche de Clémentine qui, tout en luttant pour ne pas se faire mettre la queue, reprend sa respiration. Clémentine détourne le visage pour recracher avec un air de dégoût. Maurice la tient fermement. Il tente de la forcer. Insulte.
A chaque fois, Estelle s'empare de la bite molle pour en sucer les écoulements incessants. Je ne l'ai jamais vu tant se régaler. Le type n'est plus obligé de la forcer. Estelle, la bite jusqu'au fond de la gorge, en tousse de plaisir. De la jute coule de partout. Clémentine continue de lutter contre cette étreinte qu'exerce le type. Elle a un orgasme qui la terrasse. C'est soudain. Très fort. Le type la rattrape quand elle veut se redresser. Il se redresse pour se mettre à genoux. Estelle fait pareil sans cesser la pipe. Je la vois se retirer soudain en poussant un cri de dégoût. Le mec lui pisse à la gueule. Clémentine a réussi à se dégager. Ouf.
Estelle arrive à se dégager. A quatre pattes elle file à toute vitesse pour se redresser. Clémentine l'attrape par la main. Vite. Les filles se sauvent à toute allure. Maurice retombe sur le dos comme pour s'endormir. Je remballe pour rejoindre les filles. Elles sont à la fontaine à se rincer la bouche et à se laver les mains. Clémentine n'ose pas me regarder, comme gênée. Un rire. Je la prends dans mes bras pour la rassurer en chuchotant : < Tu as été géniale, je t'aime. Merci ! >. Clémentine se serre fort. Je caresse le visage d'Estelle en lui disant : < Toi, tu as été parfaite ! >. Elle est très gênée également. Je les entraîne. Glaces.
Nous savourons nos cônes en évitant d'évoquer ce qui s'est passé. Je respecte le silence gêné des filles. Elles me tiennent fort. Nous prenons le chemin du retour pour arriver à la maison vers 20 h30. Nous réchauffons les coquillettes. L'ambiance revient. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine demande à Estelle : < Il t'a éjaculé dans la bouche ? Tu as bu de sa pisse, dis ? >. Estelle répond : < Je ne sais pas ! Ça coulait tout le temps. Put-Hein je n'ai pas sucé beaucoup de bites, mais celle-là, beurk ! > Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle fait à Clémentine : < Tu aurais du goûter, toi qui adore la pipe, tu aurais été contente ! >
Je dis à Clémentine : < C'est vrai ! Tu aurais pu goûter cette queue ! >. Clémentine répond : < Il m'a doigté tout le temps ! > Elle rajoute : < J'en avais l'envie folle mais j'arrive pas à surmonter ! > Estelle lui fait : < Essaie, tu vas voir, c'est génial ! > Nous traînons à table. La vaisselle. Il est 22 h15. Nous ramenons Estelle et son vélo. Au retour Clémentine me taille une pipe. Nous nous dépêchons de monter. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis. Sans bouger. Elle me confie enfin ses ressentis. < Aide moi encore ! J'ai vraiment envie de franchir le pas ! > me dit elle. < Je répond : < On y retourne demain ! >. Orgasme.
Bonne après-midi au port de plaisance à toutes les coquines qui rêvent de faire de nouvelles expériences avec des inconnus...
Julien - (Sous l'enchantement de l'attitude de Clémentine qui, enfin, découvre les émotions et les sensations de l'inconnu) -
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